Lisandro Rota - La sondrome del pesce rosso, cm 30 x 30
A la claire fontaine
À la claire fontaine
M’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai
Sous les feuilles d’un chêne,
Je me suis fait sécher.
Sur la plus haute branche,
Un rossignol chantait.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai
Chante, rossignol, chante,
Toi qui as le cœur gai.
Tu as le cœur à rire…
Moi je l’ai à pleurer.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
J'ai perdu mon amie
Sans l'avoir mérité.
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusai…
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Je voudrais que la rose
Fût encore au rosier,
Et que ma douce amie
Fût encore à m'aimer.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
M’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai
Sous les feuilles d’un chêne,
Je me suis fait sécher.
Sur la plus haute branche,
Un rossignol chantait.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai
Chante, rossignol, chante,
Toi qui as le cœur gai.
Tu as le cœur à rire…
Moi je l’ai à pleurer.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
J'ai perdu mon amie
Sans l'avoir mérité.
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusai…
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Je voudrais que la rose
Fût encore au rosier,
Et que ma douce amie
Fût encore à m'aimer.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Nessun commento:
Posta un commento